La Chanson de Roland

CLXIII

 

ROLAND repart ; à nouveau il va chercherpar le champ. Il retrouve son compagnon, Olivier. Contre sapoitrine il le presse, étroitement embrassé. Comme il peut, ilrevient vers l’archevêque. Sur un écu il couche Olivier auprès desautres, et l’archevêque l’a absous et signé du signe de la croix.Alors redoublent la douleur et la pitié. Et Roland dit :« Olivier, beau compagnon, vous étiez fils du duc Renier, quitenait la marche du Val de Runers. Pour rompre une lance et pourbriser des écus, pour vaincre et abattre les orgueilleux, poursoutenir et conseiller les prud’hommes [… ], en nulle terre il n’ya chevalier meilleur que vous ne fûtes ! »

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