La Chanson de Roland

CLXV

 

L’ARCHEVÊQUE, quand il vit se pâmer Roland, enressentit une douleur, la plus grande douleur qu’il eût ressentie.Il étendit la main : il a pris l’olifant. A Roncevaux il y aune eau courante : il veut y aller, il en donnera à Roland. Apetits pas, il s’éloigne, chancelant. Il est si faible qu’il nepeut avancer. Il n’en a pas la force, il a perdu trop desang ; en moins de temps qu’il n’en faut pour traverser unseul arpent, le cœur lui manque, il tombe, la tête en avant. Lamort l’étreint durement.

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