La Chanson de Roland

CCV

 

TANDIS qu’il va cherchant son neveu, il trouvadans le pré tant d’herbes, dont les fleurs sont vermeilles du sangde nos barons ! Pitié lui prend, il ne peut se tenir depleurer. Il arrive en un lieu qu’ombragent deux arbres. Ilreconnaît sur trois perrons les coups de Roland ; sur l’herbeverte il voit son neveu, qui gît. Qui s’étonnerait, s’il frémit dedouleur ? Il descend de cheval, il y va en courant. Entre sesdeux mains… Il se pâme sur lui, tant son angoisse l’étreint.

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