La Chanson de Roland

XLVIII

 

ALORS vint un païen, Valdabron. Il s’approchedu roi Marsile. En riant clair il dit à Ganelon :« Prenez mon épée, nul n’en a de meilleure ; la garde, àelle seule, vaut plus de mille mangons. Par amitié, beau sire, jevous la donne, et vous nous aiderez en sorte que nous puissionstrouver à l’arrière-garde le preux Roland. – Ce sera fait »,répond le comte Ganelon. Puis ils se baisèrent au visage et aumenton.

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