La Chanson de Roland

LXX

 

LE neveu de Marsile tient le gant dans sonpoing. Il dit à son oncle une parole fière : « Beau sireroi, vous m’avez fait un grand don. Or, choisissez-moi douze de vosbarons ; avec eux je combattrai les douze pairs. » Toutle premier, Falsaron répond, qui était frère du roi Marsile :« Beau sire neveu, nous irons, vous et moi ; certes, nousla livrerons, cette bataille, à l’arrière-garde de la grande ost deCharles. C’est jugé : nous les tuerons ! »

Auteurs::

Les cookies permettent de personnaliser contenu et annonces, d'offrir des fonctionnalités relatives aux médias sociaux et d'analyser notre trafic. Plus d’informations

Les paramètres des cookies sur ce site sont définis sur « accepter les cookies » pour vous offrir la meilleure expérience de navigation possible. Si vous continuez à utiliser ce site sans changer vos paramètres de cookies ou si vous cliquez sur "Accepter" ci-dessous, vous consentez à cela.

Fermer