La Chanson de Roland

LXXXIII

 

OLIVIER dit : « Les païens sont trèsforts ; et nos Français, ce me semble, sont bien peu. Roland,mon compagnon, sonnez donc votre cor : Charles l’entendra, etl’armée reviendra. » Roland répond : « Ce seraitfaire comme un fou. En douce France j’y perdrais mon renom. Surl’heure je frapperai de Durendal, de grands coups. Sa lame saignerajusqu’à l’or de la garde. Les félons païens sont venus aux portspour leur malheur. Je vous le jure, tous sont marqués pour lamort. »

Auteurs::

Les cookies permettent de personnaliser contenu et annonces, d'offrir des fonctionnalités relatives aux médias sociaux et d'analyser notre trafic. Plus d’informations

Les paramètres des cookies sur ce site sont définis sur « accepter les cookies » pour vous offrir la meilleure expérience de navigation possible. Si vous continuez à utiliser ce site sans changer vos paramètres de cookies ou si vous cliquez sur "Accepter" ci-dessous, vous consentez à cela.

Fermer