Le milan et les oiseaux
Un Milan feignit de vouloir traiter les petitsOiseaux le jour de sa naissance, et les ayant reçus chez lui lesmangea tous.
Quand vous voyez qu’une fine femelle,
En même temps fait les yeux doux
À quinze ou seize jeunes fous,
Qui tous ne doutent point d’être aimés de laBelle,
Pourquoi vous imaginez-vous
Qu’elle les attire chez elle
Si ce n’est pour les plumer tous.