Le Souriceau et sa Mère.
À la vieille souris, disait sa jeunefille,
Je hais le petit coq, j’aime le petitchat :
Le Chat ! répond sa mère : ah !c’est un scélérat ;
Mais le coq n’a point fait de mal à tafamille.
Ne vous fiez point trop à mine radoucie,
Et ne jugez des gens sur la physionomie.
Plus d’un tartuffe ici l’a bonne, etcependant
Sot qui lui confierait sa femme ou sonargent.