Les Onze mille verges ou les Amours d’un hospodar

Chapitre 5

 

 

« Son Excellence le généralKokodryoff ne peut recevoir en ce moment. Il trempe sa mouillettedans son œuf à la coque.

– Mais, répondit Mony au concierge, jesuis son officier d’ordonnance. Vous autres, Pétropolitains, vousêtes ridicules avec vos suspections continuelles… Vous voyez monuniforme ! On m’a appelé à Saint-Pétersbourg, ce n’était pas,je suppose, dans le but de m’y faire subir les rebuffades desportiers ?

– Montrez-moi vos papiers ! dit lecerbère, un Tatar colossal.

– Voilà ! » prononça sèchementle prince en mettant son revolver sous le nez du pipelet terrifiéqui s’inclina pour laisser passer l’officier.

Mony monta rapidement (en faisant sonnerses éperons) au premier étage du palais du général princeKokodryoff avec lequel il devait partir pour l’Extrême-Orient. Toutétait désert et Mony, qui n’avait vu son général que la veille chezle Tsar, s’étonnait de cette réception. Le général lui avaitpourtant donné rendez-vous et c’était l’heure exacte qui avait étéfixée.

Mony ouvrit une porte et pénétra dans ungrand salon désert et sombre qu’il traversa enmurmurant :

« Ma foi, tant pis, le vin esttiré, il faut le boire. Continuons nosinvestigations. »

Il ouvrit une nouvelle porte qui sereferma d’elle-même sur lui. Il se trouva dans une pièce plusobscure encore que la précédente.

Une voix douce de femme dit enfrançais :

« Fédor, est-cetoi ?

– Oui, c’est moi, monamour ! » dit à voix basse, mais résolument, Mony dont lecœur battait à se rompre.

Il s’avança rapidement du côté d’oùvenait la voix et trouva un lit. Une femme était couchée dessustout habillée. Elle étreignit Mony passionnément en lui dardant salangue dans la bouche. Celui-ci répondait à ses caresses. Il luireleva les jupes. Elle écarta les cuisses. Ses jambes étaient nueset un parfum délicieux de verveine émanait de sa peau satinée, mêléaux effluves de l’odor di femina. Son con où Mony portaitla main était humide. Elle murmurait :

« Baisons… Je n’en peux plus…Méchant, voilà huit jours que tu n’es pas venu. »

Mais Mony, au lieu de répondre, avaitsorti sa pine menaçante et, tout armé, il monta sur le lit et fitentrer son braquemart en colère dans la fente poilue de l’inconnuequi aussitôt agita les fesses en disant :

« Entre bien… Tu me faisjouir… »

En même temps elle porta sa main au basdu membre qui la fêtait et se mit à tâter ces deux petites boulesqui servent d’appendages et que l’on appelle testicules, non pas,comme on le dit communément, parce qu’elles servent de témoins à laconsommation de l’acte amoureux, mais plutôt parce qu’elles sontles petites têtes qui recèlent la matière cervicale qui jaillit dela mentule ou petite intelligence, de même que la tête contient lacervelle qui est le siège de toutes les fonctions mentales. La mainde l’inconnue tâtait soigneusement les couilles de Mony. Tout àcoup, elle poussa un cri, et d’un coup de cul, elle délogea sonfouteur :

« Vous me trompez. Monsieur, monamant en a trois. »

Elle sauta du lit, tourna un boutond’électricité et la lumière fut. La pièce était simplement meublée: un lit, des chaises, une table, une toilette, un poêle. Quelquesphotographies étaient sur la table et l’une représentait unofficier à l’air brutal, vêtu de l’uniforme du régiment dePréobrajenski.

L’inconnue était grande. Ses beauxcheveux châtains étaient un peu en désordre. Son corsage ouvertmontrait une poitrine rebondie, formée par des seins blancs veinésde bleu qui reposaient douillettement dans un nid de dentelle. Sesjupons étaient chastement baissés. Debout, le visage exprimant à lafois la colère et la stupéfaction, elle se tenait devant Mony quiétait assis sur le lit, la pine en l’air et les mains croisées surla poignée de son sabre :

« Monsieur, dit la jeune femme,votre insolence est digne du pays que vous servez. Jamais unFrançais n’aurait eu la goujaterie de profiter comme vous d’unecirconstance aussi imprévue. Sortez, je vous lecommande.

– Madame ou Mademoiselle, répondit Mony,je suis un prince roumain, nouvel officier d’état-major du princeKokodryoff. Récemment arrivé à Saint-Pétersbourg, j’ignore lesusages de cette cité et, n’ayant pu pénétrer ici, bien que j’yeusse rendez-vous avec mon chef, qu’en menaçant le portier de monrevolver, j’eusse cru agir sottement en ne satisfaisant pas unefemme qui semblait avoir besoin de sentir un membre dans sonvagin.

– Vous auriez dû, au moins, ditl’inconnue en regardant le membre viril qui battait la mesure,avertir que vous n’étiez pas Fédor, et maintenant allez-vousen.

– Hélas ! s’écria Mony, vous êtesparisienne pourtant, vous ne devriez pas être bégueule… Ah !qui me rendra Alexine Mangetout et Culculine d’Ancône.

– Culculine d’Ancône ! s’exclama lajeune femme, vous connaissez Culculine ? Je suis sa sœurHélène Verdier ; Verdier c’est aussi son vrai nom et je suisinstitutrice de la fille du général. J’ai un amant, Fédor. Il estofficier. Il a trois couilles. »

À ce moment on entendit un grandbrouhaha dans la rue. Hélène alla voir. Mony regarda derrière elle.Le régiment de Préobrajenski passait. La musique jouait un vieilair sur lequel les soldats chantaient tristement :

Ah ! que ta mère soit foutue !

Pauvre paysan pars en guerre,

Ta femme se fera baiser

Par les taureaux de ton étable.

Toi, tu te feras chatouiller le vit

Par les mouches sibériennes

Mais ne leur rends pas ton membre

Le vendredi, c’est jour maigre

Et ce jour-là ne leur donne pas de sucre nonplus.

Il est fait avec des os de mort.

Baisons, mes frères paysans, baisons

La jument de l’officier.

Elle a le con moins large

Que les filles des Tatars.

Ah ! que ta mère soit foutue !

Tout à coup la musique cessa. Hélènepoussa un cri. Un officier tourna la tête. Mony que venait de voirsa photographie reconnut Fédor qui salua de son sabre encriant :

« Adieu, Hélène, je pars en guerre.Nous ne nous reverrons plus. »

Hélène devint blanche comme une morte ettomba évanouie dans les bras de Mony qui la transporta sur lelit.

Il lui ôta d’abord son corset et lesseins se dressèrent. C’était deux superbes tétons dont la pointeétait rose. Il les suça un peu, puis dégrafa la jupe qu’il enlevaainsi que les jupons et le corsage. Hélène resta en chemise. Monytrés excité releva la toile blanche qui cachait les trésorsincomparables de deux jambes sans défaut. Les bas montaient jusqu’àmi-cuisses et les cuisses étaient rondes comme des tours d’ivoire.Au bas du ventre se cachait la grotte mystérieuse dans un boissacré fauves comme les automnes. Cette toison était épaisse et leslèvres serrées du con ne laissaient apercevoir qu’une raiesemblable à une coche mnémonique sur les poteaux qui servaient decalendrier aux Incas.

Mony respecta l’évanouissement d’Hélène.Il lui retira les bas et commença à lui faire petit salé. Ses piedsétaient jolis, potelé comme des pieds de bébé. La langue du princecommença par les orteils du pied droit. Il nettoyaconsciencieusement l’ongle du gros orteil, puis passa entre lesjointures. Il s’arrêta longtemps sur le petit orteil qui étaitmignon, mignon. Il reconnut que le pied droit avait le goût deframboise. La langue lécheuse fouilla ensuite les plis du piedgauche auquel Mony trouva une saveur qui rappelait celle du jambonde Mayence.

À ce moment Hélène ouvrit les yeux etremua. Mony arrêta ses exercices de petit salé et regarda la joliefille grande et potelée s’étirer en pandiculation. Sa boucheouverte par le bâillement montra une langue rose entre les dentscourtes et ivoirines. Elle sourit ensuite.

HÉLÈNE – Prince, dans quel état m’avezvous mise ?

MONY – Hélène ! c’est pour votrebien que je vous ai mise à votre aise. J’ai été pour vous un bonsamaritain. Un bienfait n’est jamais perdu et j’ai trouvé unerécompense exquise dans la contemplation de vos charmes. Vous êtesexquise et Fédor est un heureux gaillard.

HÉLÈNE – Je ne le verrai plushélas ! Les Japonais vont le tuer.

MONY – Je voudrais bien le remplacer,mais par malheur, je n’ai pas trois couilles.

HÉLÈNE – Ne parle pas comme ça, Mony, tun’en as pas trois, c’est vrai, mais ce que tu as est aussi bien quele sien.

MONY – Est-ce vrai, petitecochonne ? Attends que je déboucle mon ceinturon… C’est fait.Montre-moi ton cul !… comme il est gros, rond est joufflu… Ondirait un ange en train de souffler… Tiens ! il faut que je tefesse en l’honneur de ta sœur Culculine… clic, clac, pan,pan…

HÉLÈNE –Aïe ! Aïe ! Aïe !Tu m’échauffes, je suis toute mouillée.

MONY – Comme tu as les poils épais…clic, clac ; il faut absolument que je le fasse rougir tongros visage postérieur. Tiens, il n’est pas fâché, quand tu leremues un peu on dirait qu’il rigole.

HÉLÈNE – Approche-toi que je tedéboutonne, montre-moi ce gros poupon qui veut se réchauffer dansle sein de sa maman. Qu’il est joli ! Il a une petite têterouge et pas de cheveux. Par exemple, il a des poils en bas à laracine et ils sont durs et noirs. Comme il est beau, cetorphelin…mets-le-moi, dis ! Mony, je veux le téter, le sucer,le faire décharger…

MONY – Attends que je te fasse un peufeuille de rose…

HÉLÈNE – Ah ! c’est bon, je sens talangue dans la raie de mon cul !…Elle entre et fouille lesplis de ma rosette. Ne le déplisse pas trop le pauvre troufignon,n’est-ce pas, Mony ? Tiens, je te fais beau cul. Ah ! Tuas fourré ta figue entière entre mes fesses… Tiens, je pète… Je tedemande pardon, je n’ai pas pu me retenir !… Ah ! Tesmoustaches me piquent et tu baves… cochon… tu baves. Donne-la-moi,ta grosse bite, que je la suce… j’ai soif…

MONY – Ah ! Hélène, comme ta langueest habile. Si tu enseignes aussi bien l’orthographe que tu taillesles plumes tu dois être une institutrice épatante… Oh ! Tu mepicotes le trou du gland avec la langue… Maintenant, je la sens àla base du gland… tu nettoies le repli avec ta langue chaude.Ah ! fellatrice sans pareille, tu glottinesincomparablement !… Ne suce pas si fort. Tu me prends le glandentier dans ta petite bouche. Tu me fais mal ! Ah !Ah ! Ah ! Ah ! Tu me chatouilles tout le vit …Ah ! Ah ! Ne m’écrase pas les couilles… tes dents sontpointues… C’est ça, reprend la tête du nœud, c’est là qu’il fauttravailler… Tu l’aimes bien, le gland ?… petite truie…Ah !… Ah !… Ah !… Ah !… je… dé…charge…cochonne… elle a tout avalé… Tiens, donne-le-moi, ton gros con, queje te gamahuche pendant que je rebanderai…

HÉLÈNE – Va plus fort… Agite bien talangue sur mon bouton… Le sens-tu grossir mon clitoris… dis…fais-moi les ciseaux… C’est ça… Enfonce bien le pouce dans le conet l’index dans le cul. Ah ! c’est bon !… c’estbon !… Tiens ! entends-tu mon ventre qui gargouille deplaisir… C’est ça ! ta main gauche sur mon nichon gauche…Écrase la fraise… Je jouis… Tiens !… les sens-tu mes tours decul, mes coups de reins, salaud ! c’est bon… viens me baiser.Donne-moi vite ta bitte pour que je la suce pour la faire rebanderdur, plaçons-nous en 69, toi sur moi…

» Tu bandes ferme, cochon, ça n’apas été long, enfile-moi… Attends, il y a des poils qui se sontpris… Suce-moi les nichons, comme ça c’est bon !… Entre bienau fond… là, reste comme ça, ne t’en vas pas… Je te serre, je serreles fesses… Je vais bien… Je meurs… Mony… ma sœur, l’as-tu faitautant jouir ?… pousse bien… ça me va jusqu’au fond de l’âme…ça me fait jouir comme si je mourais… je n’en peux plus… cher Mony…partons ensemble. Ah ! je n’en peux plus, je lâche tout… jedécharge…

Mony et Hélène déchargèrent en mêmetemps. Il lui nettoya ensuite le con avec la langue et elle lui fitautant pour le vit.

Pendant qu’il se rajustait et qu’Hélènese rhabillait on entendit des cris de douleur poussées par unefemme.

« Ce n’est rien, dit Hélène, onfesse Nadèje : c’est la femme de chambre de Wanda, la fille dugénéral et mon élève.

– Fais-moi voir cette scène, » ditMony.

Hélène, à moitié vêtue, mena Mony dansune pièce sombre et démeublée, dont une fausse fenêtre intérieureet vitrée donnait sur une chambre de jeune fille. Wanda, la filledu général, était une assez jolie personne de dix-sept ans. Ellebrandissait une nagaïka à tour de bras et cinglait une jolie filleblonde, à quatre pattes devant elle et les jupes relevées. C’étaitNadèje. Son cul était merveilleux, énorme rebondi. Il se dandinaitsous une taille invraisemblablement fine. Chaque coup de nagaïka lafaisait bondir et le cul semblait se gonfler. Il était rayé encroix de Saint-André, traces qu’y laissait la terriblenagaïka.

« Maîtresse, je ne le feraiplus, » criait la fouettée, et son cul en se relevant montraitun con bien ouvert, ombragé par une forêt de poils blondfilasse.

« Va-t’en, maintenant, » criaWanda en donnant un coup de pied dans le con de Nadèje qui s’enfuiten hurlant.

Puis la jeune fille alla ouvrir un petitcabinet d’où sortit une petite fille de treize à quatorze ans minceet brune, d’aspect vicieux.

« C’est Ida, la fille du drogman del’ambassade d’Autriche-Hongrie, murmura Hélène à l’oreille de Mony,elle gougnotte avec Wanda. »

En effet, la petite fille jeta Wanda surle lit, lui releva les jupes et mit à jour une forêt de poils,forêt vierge encore, d’où émergea un clitoris long comme le petitdoigt, qu’elle se mit à sucer frénétiquement.

« Suce bien, mon Ida, ditamoureusement Wanda, je suis très excitée et tu dois l’être aussi.Rien n’est si excitant que de fouetter un gros cul comme celui deNadèje. Ne suce plus maintenant… je vais tebaiser. »

La petite fille se plaça, jupesrelevées, prés de la grande. Les grosses jambes de celle-cicontrastaient singulièrement avec les cuisses minces, brunes etnerveuses de celle-là.

« C’est curieux, dit Wanda, que jet’aie dépucelée avec mon clitoris et que moi-même je sois encorevierge. »

Mais l’acte avait commencé, Wandaétreignait furieusement sa petite amie. Elle caressa un moment sonpetit con encore presque imberbe. Ida disait :

« Ma petite Wanda, mon petit mari,comme tu as des poils ! Baise-moi ! »

Bientôt le clitoris entra dans la fented’Ida et le beau cul potelé de Wanda s’agitâtfurieusement.

Mony que ce spectacle mettait hors delui passa une main sous les jupes d’Hélène et la branla savamment.Elle lui rendit la pareille en saisissant à pleine main sa grossequeue et lentement, pendant que les deux saphiques s’étreignaientéperdument, elle manuélisa la grosse queue de l’officier.Décalotté, le membre fumait. Mony tendait les jarrets et pinçaitnerveusement le petit bouton d’Hélène. Tout à coup Wanda, rouge etéchevelée, se leva de dessus de sa petite amie qui, saisissant unebougie dans le bougeoir, acheva l’œuvre commencée par le clitorisbien développé de la fille du général. Wanda alla à la porte,appela Nadèje qui revint effrayée. La jolie blonde, sur l’ordre desa maîtresse, dégrafa son corsage et en fit sortir ses gros tétons,puis releva les jupes et tendit son cul. Le clitoris en érection deWanda pénétra bientôt entre les fesses satinées dans lesquelleselle alla et vint comme un homme. La petite fille Ida, dont lapoitrine maintenant dénudée était charmante mais plate, vintcontinuer le jeu de sa bougie, assise entre les jambes de Nadèje,dont elle suça savamment le con. Mony déchargea à ce moment sous lapression exercée par les doigts d’Hélène et le foutre alla s’étalersur la vitre qui les séparait des gougnottes. Ils eurent peur qu’onne s’aperçut de leur présence et s’en allèrent.

Ils passèrent enlacés dans uncorridor :

« Que signifie, demanda Mony, cettephrase que m’a dite le portier : “Le général est en train detremper sa mouillette dans son œuf à la coque” ?

– Regarde, » répondit Hélène, etpar une porte entrouverte qui laissait voir dans le cabinet detravail du général, Mony aperçut son chef debout et en traind’enculer un petit garçon charmant. Ses cheveux châtains boucléslui retombaient sur les épaules. Ses yeux bleus et angéliquescontenaient l’innocence des éphèbes que les dieux font mourirjeunes parce qu’ils aiment. Son beau cul blanc et dur semblaitn’accepter qu’avec pudeur le cadeau viril que lui faisait legénéral qui ressemblait assez à Socrate.

« Le général, dit Hélène, élèvelui-même son fils qui a douze ans. La métaphore du portier étaitpeu explicite car, plutôt que de se nourrir lui-même, le général àtrouvé cette méthode convenable pour nourrir et orner l’esprit deson rejeton mâle. Il lui inculque par le fondement une science quime paraît assez solide, et le jeune prince pourra sans honte, plustard, faire bonne figure dans les conseils de l’Empire.

– L’inceste, dit Mony, produit desmiracles. »

Le général semblait au comble de lajouissance, il roulait des yeux blancs striés de rouge.

« Serge, s’écriait-il d’une voixentrecoupée, sens-tu bien l’instrument qui, non satisfait det’avoir engendré, a également assumé la tâche de faire de toi unjeune homme parfait ? Souviens-toi, Sodome est un symbolecivilisateur. L’homosexualité eût rendu les hommes semblables à desdieux et tous les malheurs découlèrent de ce désir que les sexesdifférents prétendent avoir l’un de l’autre. Il n’y a qu’un moyenaujourd’hui de sauver la malheureuse et sainte Russie, c’est que,philopèdes, les hommes professent définitivement l’amour socratiquepour les encroupés, tandis que les femmes iront au rocher deLeucade prendre des leçons de saphisme. »

En poussant un râle de volupté, ildéchargea dans le cul charmant de son fils.

Les cookies permettent de personnaliser contenu et annonces, d'offrir des fonctionnalités relatives aux médias sociaux et d'analyser notre trafic. Plus d’informations

Les paramètres des cookies sur ce site sont définis sur « accepter les cookies » pour vous offrir la meilleure expérience de navigation possible. Si vous continuez à utiliser ce site sans changer vos paramètres de cookies ou si vous cliquez sur "Accepter" ci-dessous, vous consentez à cela.

Fermer