Alcools

J’observe le repos du dimanche

J’observe le repos du dimanche

Et je loue la paresse

Comment comment réduire

L’infiniment petite science

Que m’imposent mes sens

L’un est pareil aux montagnes au ciel

Aux villes à mon amour

Il ressemble aux saisons

Il vit décapité sa tête est le soleil

Et la lune son cou tranché

Je voudrais éprouver une ardeur infinie

Monstre de mon ouïe tu rugis et tu pleures

Le tonnerre te sert de chevelure

Et tes griffes répètent le chant desoiseaux

Le toucher monstrueux m’a pénétrém’empoisonne

Mes yeux nagent loin de moi

Et les astres intacts sont mes maîtres sansépreuve

La bête des fumées a la tête fleurie

Et le monstre le plus beau

Ayant la saveur du laurier se désole

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