Scène V
Taxile,seul.
Quoi ? la fortune, obstinée à menuire,
Ressuscite un rival armé pour medétruire ?
Cet amant reverra les yeux qui l’ontpleuré,
Qui, tout mort qu’il était, me l’avaientpréféré ?
Ah ! c’en est trop. Voyons ce que le sortm’apprête,
À qui doit demeurer cette noble conquête.
Allons. N’attendons pas dans un lâchecourroux
Qu’un si grand différend se termine sansnous.