Ghazels – Poèmes persans

TELLE QU’IL S’EN RENCONTRE

Quand tu ouvres la bouche – ô Gul-i-siah –j’aperçois une caverne où s’alignent des perles dédaignées dutellal.

Quand ton haleine m’atteint – ô Gul-i-siah –je porte sans délai la rose à mes narines.

Quand tu commences un récit – ô Gul-i-siah –les serpents sifflent dans les airs et les scorpionss’entre­tuent.

Et quand retombe le silence – ô Réprouvée – lemonde n’est plus qu’un marécage au bord duquel tu as coassé.

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