Ghazels – Poèmes persans

LA BLESSURE

Ce n’est pas le Kandjar qui l’afaite :

Mes ennemis étaient sous leurs tentes.

Ce n’est pas une vengeance échue :

Ceux que j’ai offensés sont morts de ma propremain.

Ce n’est pas le hasard aveugle :

Le hasard quand il croise ma route devientclairvoyant.

Si ma vie se répand et me quitte

C’est que ses yeux m’ont blessé à mort

Et qu’Elle en aime un autre.

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