Ghazels – Poèmes persans

TELLE QU’ELLE EST

Quand tu marches – ô Azizé – la gazelle sejuge pesante et l’antilope entravée.

Quand tu souris – ô Azizé – les perles perdentaussitôt leur orient et les roses s’effeuillent, dépitées d’exhalerun parfum si grossier.

Quand tu chantes – ô Azizé – la fauvettecritique le merle et le rossignol se tient coi.

Mais quand tu querelles – ô Azizé – le véziret le calender se chamaillent et l’humanité entière doute de labonté.

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