Assez ! Extrait du journal d’un peintre défunt

Chapitre 6

 

Je t’ai parlé de la lumière qui rayonne autour du cœur humain etéclaire tout. Et j’aimerais te rappeler le temps béni où cettelumière brûlait dans mon cœur. Écoute… et je te croirai assisedevant moi, et que tu me regardes de tes tendres yeux, si attentifsqu’ils semblent presque farouches. Ô regard inoubliable ! Surqui, sur quoi te poses-tu à présent ? Qui donc te reçoit dansson âme, toi qui sembles sortir de profondeurs ignorées, pareil àces sources, mystérieuses comme toi, à la fois noires et claires,qui prennent naissance au fond de gorges étroites, sous la voûtedes rocs… Écoute, bien-aimée…

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