20. – À Apollon.
Ô Phébus, le cygne vous célèbre dans seschants mélodieux, lorsque agitant ses ailes, il s’élance sur lerivage prés du Pénée, fleuve rapide ; c’est vous que le poètesur sa lyre sonore chante toujours le premier et le dernier.
Salut, ô grand roi, puissé-je vous fléchir parmes chants.