La Chanson de Roland

CXLVIII

 

ROLAND regarde Olivier au visage : il levoit terni, blêmi, tout pâle, décoloré. Son sang coule clair aulong de son corps ; sur la terre tombent les caillots.« Dieu ! dit le comte, je ne sais plus quoi faire. Sirecompagnon, c’est grand’pitié de votre vaillance ! Jamais nulne te vaudra. Ah ! France douce, comme tu resteras aujourd’huidépeuplée de bons vassaux, humiliée et déchue ! L’empereur enaura grand dommage. » A ces mots, sur son cheval il sepâme.

Auteurs::

Les cookies permettent de personnaliser contenu et annonces, d'offrir des fonctionnalités relatives aux médias sociaux et d'analyser notre trafic. Plus d’informations

Les paramètres des cookies sur ce site sont définis sur « accepter les cookies » pour vous offrir la meilleure expérience de navigation possible. Si vous continuez à utiliser ce site sans changer vos paramètres de cookies ou si vous cliquez sur "Accepter" ci-dessous, vous consentez à cela.

Fermer