La Chanson de Roland

CXXIX

 

ROLAND dit : « Je sonnerail’olifant. Charles l’entendra, qui passe les ports. Je vous lejure, les Francs reviendront. » Olivier dit : « Ceserait pour tous vos parents un grand déshonneur et un opprobre etcette honte serait sur eux toute leur vie ! Quand je vousdemandais de le faire, vous n’en fîtes rien. Faites-lemaintenant : ce ne sera plus par mon conseil. Sonner votrecor, ce ne serait pas d’un vaillant ! Mais comme vos deux brassont sanglants ! » Le comte répond : « J’aifrappé de beaux coups. »

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