La Chanson de Roland

CLXXV

 

ROLAND sent que son temps est fini. Il estcouché sur un tertre escarpé, le visage tourné vers l’Espagne. Del’une de ses mains il frappe sa poitrine : « Dieu, par tagrâce, mea culpa, pour mes péchés, les grands et les menus, quej’ai faits depuis l’heure où je naquis jusqu’à ce jour où me voiciabattu ! » Il a tendu vers Dieu son gant droit. Les angesdu ciel descendent à lui.

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