Fables – Tome II

Du Savant et d’un Sot.

 

Un Philosophe méditait dans son cabinet. UnSot l’y trouva seul, et en fut tout surpris. – La raison,lui dit-il, qui peut vous porter à tant aimer la retraite, je ne laconcevrais pas, je vous jure, en mille ans. – Tu laconcevrais en moins d’un instant, repartit l’autre en lui tournantle dos, si tu savais que ta présence et celle de tous tes pareilsme fait souffrir. –

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