Le Kama Sutra

Chapitre 6 Des différentes manières de se coucher, et des diverses sortes de congrès.

Dans le cas d’un haut congrès, la femme Mrigi (Biche) devra se coucher de façon à élargir son yoni ; tandis que, dans un bas congrès, la femme Hastini (Éléphant) se couchera de manière à contracter le sien. Mais, dans un congrès égal, elles se coucheront dans la position naturelle. Ce qui vient d’être dit de la Mrigi et de la Hastini s’applique aussi à la femme Vadawa (Jument). Dans un bas congrès, les femmes feront particulièrement usage de drogues,pour que leurs désirs soient promptement satisfaits.

Il y a pour la femme-biche, trois manières de se coucher, savoir:

La position largement ouverte.

Lorsqu’elle baisse la tête et lève la partie médiane de son corps, cela s’appelle la position largement ouverte. À ce moment, l’homme doit appliquer Quelque onguent pour rendre l’entrée plus facile.

La position béante.

Lorsqu’elle lève ses cuisses et les tient toutes grandes écartées, puis engage le congrès, cela s’appelle la position béante.

La position de la femme d’Indra.

Lorsqu’elle ramène ses cuisses, avec ses jambes repliées dessus,sur ses côtés, et dans cette posture engage le congrès, cela s’appelle la position d’Indrani ; la pratique seule peutl’apprendre. Cette position convient aussi dans le cas d’un très haut congrès.

La position serrante est usitée dans le bas congrès et dans le très bas congrès, concurremment avec la position pressante, la position liante et la position de la jument.

Lorsque les jambes de l’homme et de la femme sont étendues droites l’une contre l’autre, cela s’appelle la position serrante. Elle est de deux sortes : la position de côté et la position de dos, suivant la manière dont ils sont couchés. Dans la position de côté, l’homme doit invariablement se coucher sur le côté gauche et faire coucher la femme sur le côté droit ; cette règle est à observer avec toutes sortes de femmes.

Lorsque, le congrès ayant commencé dans la position serrante, la femme presse son amant avec ses cuisses, cela s’appelle la position pressante.

Lorsqu’une femme place une de ses cuisses en travers de la cuisse de son amant, cela s’appelle la position liante.

Lorsque la femme retient de force le Lingam dans son yoni, cela s’appelle la position de la jument. La pratique peut seule l’apprendre ; elle est surtout connue chez les femmes du pays d’Andhra.

Telles sont les différentes manières de se coucher mentionnées par Babhravya. Toutefois il y en a d’autres qu’indique Suvamanabha,et que voici :

Lorsque la femme lève ses deux cuisses toutes droites, cela s’appelle la position levante.

Lorsqu’elle lève ses deux jambes et les place sur les épaules de son amant, cela s’appelle la position béante.

Lorsque les jambes sont contractées et maintenues ainsi par l’amant devant sa poitrine, cela s’appelle la position pressée.

Lorsqu’une des jambes seulement est étendue, cela s’appelle la position demi-pressée.

Lorsque la femme place une de ses jambes sur l’épaule de son amant et étend l’autre, puis met celle-ci à son tour sur l’épaule et étend la première, et ainsi de suite alternativement, cela s’appelle la fente du bambou.

Lorsqu’une des jambes est placée sur la tête et l’autre étendue,cela s’appelle la pose d’un clou. La pratique seule peut l’apprendre.

Lorsque les deux jambes de la femme sont contractées et placées sur son estomac, cela s’appelle la position du crabe.

Lorsque les cuisses sont élevées et placées l’une sur l’autre,cela s’appelle la position en paquet.

Lorsque les jambes sont placées l’une sur l’autre, cela s’appelle la position en forme de lotus.

Lorsqu’un homme, pendant le congrès, tourne en rond et jouit de la femme sans la quitter, la femme lui tenant toujours les reins embrassés, cela s’appelle la position tournante ; elle ne s’apprend que par la pratique.

Au dire de Suvarnanabha, ces différentes positions, couchée,assise et debout, doivent être pratiquées dans l’eau, parce qu’elles y sont plus faciles. Mais Vatsyayana est d’avis que le congrès dans l’eau n’est pas convenable, étant prohibé par la loi religieuse.

Lorsqu’un homme et une femme s’appuient sur le corps l’un de l’autre, ou sur un mur, ou sur un pilier, et se tenant ainsi debout engagent le congrès, cela s’appelle le congrès appuyé.

Lorsqu’un homme s’appuie contre un mur, et que la femme, assisesur les mains de l’homme réunies sous elle, passe ses bras autourde son cou et, collant ses cuisses le long de sa ceinture, se remue au moyen de ses pieds dont elle touche le mur contre lequel l’homme s’appuie, cela s’appelle le congrès suspendu.

Lorsqu’une femme se tient sur ses mains et ses pieds comme un quadrupède, et que son amant monte sur elle comme un taureau, cela s’appelle le congrès de la vache. À cette occasion, il y a lieu de faire sur le dos tout ce qui se fait ordinairement sur la poitrine.

On peut opérer de même le congrès du chien, le congrès de la chèvre, le congrès de la biche, le violent assaut de l’âne, le congrès du chat, le bond du tigre, la pression de l’éléphant, le frottement du sanglier et l’assaut du cheval. Et, dans tous lescas, on doit imiter les allures de chacun de ces différents animaux.

Lorsqu’un homme jouit en même temps que deux femmes, qui l’aiment également toutes deux, cela s’appelle le congrès uni.

Lorsqu’un homme jouit en même temps de plusieurs femmes, cela s’appelle le congrès du troupeau de vaches.

Les sortes de congrès suivantes, savoir : l’exercice dans l’eau, ou congrès d’un éléphant avec plusieurs éléphants femelles qu’on dit n’avoir lieu que dans l’eau, le congrès du troupeau de chèvres,le congrès du troupeau de biches, s’opèrent à l’imitation de cesanimaux.

À Gramaneri, plusieurs jeunes gens jouissent d’une femme qui peut être mariée à l’un d’eux, soit l’un après l’autre, soit tous en même temps. Ainsi l’un la tient, l’autre en jouit, un troisième s’empare de sa bouche, un quatrième de son ventre ; et de cette façon ils jouissent alternativement de chacune de ses parties.

Même chose peut se faire quand plusieurs hommes se trouvent en compagnie d’une courtisane. Et les femmes du harem du Roi, de leur côté, peuvent en faire autant quand par hasard elles mettent la main sur un homme.

Les gens des contrées méridionales ont aussi un congrès dans l’anus, qui s’appelle le congrès inférieur.

Ainsi finissent les diverses sortes de congrès. Il y a aussi, sur ce sujet, deux versets dont voici le texte :

« Une personne ingénieuse doit multiplier les sortes de congrès,en imitant les différentes espèces de bêtes et d’oiseaux.

« Ces différentes sortes de congrès, opérées suivant les usagesde chaque pays et la fantaisie de chaque individu, engendren tl’amour, l’amitié et le respect dans le cœur des femmes. »

Chapitre 7 Des diverses manières de frapper et des sons appropriés.

Le commerce sexuel peut être comparé à une querelle, à cause des contrariétés de l’amour et de sa tendance à tourner en dispute. L’endroit que l’on frappe avec passion est le corps, et sur le corps les endroits spéciaux sont :

Les épaules.

La tête.

L’espace entre les seins.

Le dos.

Le jaghana, ou partie médiane du corps.

Les côtés.

Il y a quatre manières de frapper, savoir :

Frapper avec le dos de la main.

Frapper avec les doigts un peu contractés.

Frapper avec le poing.

Frapper avec la paume de la main ouverte.

Les coups produisant de la douleur, il en résulte le son sifflant, qui est de diverses sortes, et les huit sortes de plaintes, savoir :

Le son Hinn.

Le son tonnant.

Le son roucoulant.

Le son pleurant.

Le son Phoutt.

Le son Phâtt.

Le son Soûtt.

Le son Plâtt.

Outre cela, il y a aussi des mots qui ont un sens, tels que : «Ma mère ! », et ceux qui expriment prohibition, suffisance,désir de libération, douleur ou louange, auxquels on peut joindre des sons comme ceux de la colombe, du coucou, du pigeon vert, du perroquet, de l’abeille, du moineau, du flamant, du canard et de la caille, qui tous sont usités dans telle ou telle occasion.

Les coups de poing doivent être donnés sur le dos de la femme,pendant qu’elle est assise sur les genoux de l’homme ; elle doit lui rendre ses coups, en l’invectivant comme si elle était en colère, avec accompagnement des sons roucoulant et pleurant. Lorsque le congrès est engagé, on frappe l’espace entre les seins avec le dos de la main, lentement d’abord, puis de plus en plus vite suivant que l’excitation augmente, jusqu’à la fin.

À ce moment on émettra les sons Hinn et autres, alternativementou comme on voudra, suivant la coutume. Lorsque l’homme, faisant entendre le son Phâtt, frappe la femme sur la tête avec ses doigtsun peu contractés, cela s’appelle Prasritaka, ce qui veut dire :frapper avec les doigts un peu contractés. Dans ce cas, les sons appropriés seront le son roucoulant, le son Phâtt et le son Phouttdans l’intérieur de la bouche, et, à la fin du congrès, les sons soutirant et pleurant.

Le son Phâtt est une imitation du bruit que produit la cassure du bambou ; le son Phoutt ressemble au bruit une chose quitombe dans l’eau. À chaque fois qu’on lui donne un baiser ou qu’onlui fait une caresse quelconque, la femme doit répondre par un sonsifflant. Pendant l’action, si la femme n’est pas habituée à être frappée, elle murmure continuellement des mots qui expriment prohibition, suffisance ou désir de libération, ou des mots telsque : « Mon père ! » « Ma mère ! », entrecoupés de sons soupirant, pleurant et tonnant!. Vers la fin du congrès, l’homme Pressera fortement, avec la paume des mains ouvertes, les seins, lejagnana et les côtés de la femme, et cela jusqu’à la fin ; et la femme fera alors entendre des sons tels que ceux de la caille ou de l’oie.

Il y a aussi, sur ce sujet, deux versets dont voici le texte:

« Les caractéristiques du sexe masculin sont, dans l’opinion générale, la rudesse et l’impétuosité ; tandis que la faiblesse, la tendresse, la sensibilité, et une inclination à éviter les choses déplaisantes, sont les marques distinctives du sexe féminin. L’excitation de la passion et certaines particularités d’habitude peuvent quelquefois produire, en apparence, des résultats contraires ; mais l’état naturel tant toujours par reprendre le dessus. » Aux quatre manières de frapper mentionnées plus haut, on peut ajouter l’emploi du coin sur la poitrine, des ciseaux sur la tête, de l’instrument perçant sur les joues, et des pinces sur les seins et les côtés, ce qui donne en tout huit manières. Mais ces quatre manières de frapper avec des instruments sont particulières aux gens des contrées méridionales,et l’on en voit les marques sur les seins de leurs femmes. Ce sont des particularités locales, mais Vatsyayana est d’avis que la pratique en est douloureuse, barbare, vile, et qu’elle n’est pas du tout à imiter.

En règle générale, tout ce qui est particularité locale ne doit pas adopté ailleurs sans examen ; et, même dans les pays où la pratique est prévalente, il faut toujours en éviter l’abus. Voici des exemples du danger de ces pratiques : Le roi des Panchalas tua la courtisane Madhavasena en se servant d’un coin pendant le congrès.

Shatakami Shatavahana, roi des Kuntalas, fit perdre la vie à sa grande reine Malayavati par l’emploi d’une paire de ciseaux ;et Naradeva, dont la main était déformée, aveugla une jeune danseuse avec un instrument perçant mal dirigé.

Il existe aussi, sur ce sujet, deux versets dont voici le texte:

« Relativement à ces choses, il ne peut y avoir ni énumération ni règle définie. Une fois le congrès commencé, la passion seule régit tous les actes des parties. » Ces actions passionnées, ces gestes ou mouvements amoureux, qui naissent de l’excitation du moment, dans le congrès, ne sauraient être définis : ils sont irréguliers comme des songes. Un cheval qui a une fois atteint le cinquième degré de motion poursuit sa course avec une vitesse aveugle, sans regarder aux trous, aux fossés, aux poteaux qui peuvent barrer sa route : ainsi deux amants, dans la chaleur du congrès ; la passion les aveugle, ils vont, ils vont toujours,avec furie, sans s’inquiéter en rien des excès. Pour cette raison,l’homme qui possède à fond la science d’amour, et qui connaît sapropre force, comme aussi la tendresse, l’ardeur et la force de samaîtresse, agira en conséquence. Les différents modes de jouissance ne sont pas pour tous les temps ni pour toutes les personnes : on doit, pour les appliquer, consulter le temps, le pays et l’endroit.

Chapitre 8 Des femmes qui jouent le rôle de l’homme et du travail de l’homme.

Lorsqu’une femme voit son amant fatigué par un congrès prolongé,sans qu il ait assouvi son désir, elle doit, avec sa permission, le renverser sur le dos et lui venir en aide en jouant son rôle. Elle peut le faire aussi pour satisfaire la curiosité de l’homme, ou son propre désir de nouveauté.

Il y a deux façons d’opérer : la femme, pendant le congrès, tourne en rond et monte sur son amant, de manière à continuer l’action sans interrompre le plaisir ; ou bien elle joue lerôle de l’homme dès le commencement. Alors, sa chevelure dénouée mêlée de fleurs, souriante et haletante à la fois, elle appuiera les seins sur la poitrine de son amant, et, baissant fréquemment la tête, lui rendra ce qu’il lui faisait tout à l’heure, ses coups,ses invectives ; elle lui dira : « Tu m’as renversée, tu m’as moulue ; à mon tour de te renverser, de te moudre. » Puis elle aura des semblants de pudeur, se prétendra fatiguée, voudra cesser le congrès. Et elle fera ainsi le travail de l’homme, que nous allons maintenant exposer.

Tout ce que fait un homme pour donner du plaisir à une femme s’appelle le travail de l’homme, et voici en quoi il consiste :

La femme étant couchée sur le lit, et en quelque sorte absorbée par sa conversation, il dénouera sa jupe de dessous, et, si elle commence à l’invectiver, la fera taire en la couvrant de baisers. Alors, son Lingam mis en érection, il promènera ses mains sur divers endroits et maniera délicatement certaines parties du corps. Si la femme est honteuse, et que ce soit la première fois qu’ils se rencontrent, l’homme glissera ses mains entre les cuisses, qu’elle voudrait probablement tenir serrées ; si c’est une très jeune fille, il devra d’abord s’emparer de ses seins, qu’elle voudrait probablement couvrir de ses propres mains, puis il lui passera les bras sous les aisselles et sur le cou. Si, au contraire, c’est une femme expérimentée, il fera ce qui pourra être agréable à l’un et à l’autre et Approprié à la circonstance. Ensuite il saisira sa chevelure, et lui tiendra le menton dans ses doigts pour lui donner des baisers. Là-dessus, si c’est une jeune fille, elle deviendra honteuse et fermera les yeux. Quel que soit le cas, la contenance de la femme lui indiquera ce qu’il devra faire pour lui rendre le congrès agréable.

Ici Suvamanabha observe que, tout en faisant à la femme ce qu’il juge le plus convenable pendant le congrès, l’homme doit toujours avoir soin de presser les parties de son corps sur lesquelles elle tourne les yeux.

Les signes de jouissance et de satisfaction de la femme sont les suivants : son corps se relâche, elle ferme les jeux, oublie toute pudeur, et montre un désir croissant d’unir les deux organes aussi étroitement que possible. D’un autre côté, voici les signes auxquels on reconnaît qu’elle ne jouit pas et n’est pas satisfaite: elle choque ses mains, ne laisse pas l’homme se lever, semble abattue, mord l’homme, le frappe, et continue à s’agiter après que l’homme a fini.

En pareil cas, l’homme doit lui frotter le yoni avec sa main et ses doigts (comme l’éléphant frotte avec sa trompe) avant de réengager le congrès, jusqu’à ce que l’irritation soit calmée ; puis, il s’occupera d’introduire son Lingam.

Voici les actes que doit faire un homme :

Pousser en avant.

Lorsque les organes sont rapprochés convenablement et directement, cela s’appelle pousser en avant.

Frictionner ou baratter.

Lorsqu’on tient le Lingam avec la main, et qu’on le fait tourner tout autour dans le yoni, cela s’appelle baratter.

Percer.

Lorsque le yoni est abaissé et que le Lingam en frappe la partie supérieure, cela s appelle percer.

Frotter.

Lorsque même chose est faite sur la partie inférieure, celas’appelle frotter.

Presser.

Lorsque le yoni est longtemps pressé par le Lingam, cela s’appelle presser.

Donner un coup.

Lorsque le Lingam est retiré à une certaine distance du yoni, et qu’il y rentre ensuite avec force, cela s’appelle donner uncoup.

Le coup du sanglier.

Lorsque le Lingam ne frotte qu’un côté seulement du yoni, cela s’appelle le coup du sanglier.

Le coup du taureau.

Lorsque les deux côtés du yoni sont ainsi frottés, cela s’appelle le coup du taureau.

La chasse au moineau.

Lorsque le Lingam est dans le yoni, et qu’on l’y agite avec un rapide mouvement de va-et-vient, sans le retirer, cela s’appelle lachasse au moineau. C’est le dernier acte du congrès.

Quand une femme joue le rôle de l’homme, elle doit, en sus desneuf opérations ci-dessus, faire les trois suivantes :

La paire de pincettes.

Lorsque la femme tient le Lingam dans son yoni, l’y attire, leserre et le garde ainsi longtemps, ce a s’appelle la paire depincettes.

La toupie.

Lorsque, pendant le congrès, elle tourne en rond comme une roue,cela s’appelle la toupie. La pratique seule peut l’apprendre.

La balançoire.

Lorsque, en pareil cas, l’homme soulève a partie médiane de soncorps, et que la femme tourne en rond sur sa partie médiane à elle,cela s’appelle la balançoire.

Si la femme est fatiguée, elle posera son front sur celui de sonamant, et restera ainsi sans interrompre l’union des organes. Puis,quand elle sera reposée, l’homme se retournera et recommencera lecongrès.

Il y a aussi, sur ce sujet, des versets dont voici le texte:

« Si réservée que soit une femme, et si bien caché qu’elletienne ce qu’elle ressent, toutefois, lorsqu’elle monte sur unhomme, elle trahit tout son amour et toute sa passion. Lacontenance de la femme doit faire connaître à l’homme sesdispositions, et la manière dont elle veut qu’on jouisse d’elle. Lafemme qui est dans ses menstrues, la femme qui a récemmentaccouché, et la femme grosse, ne doivent pas être autorisées àjouer le rôle de l’homme. »

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