Tandis que le banquier Favraut, fidèle à saparole, se renfermait sous un nom d’emprunt dans une villa isolée,Cocantin se préparait à épouser Miss Daisy Torp et à adopter lemôme Réglisse… En attendant, ayant résolu de devenir à son tour unondin, il se livrait chaque jour, prudemment, à de longsexercices de natation sur la table de son salon pour la plus grandejoie de la jolie Américaine et du môme Réglisse… au comble dubonheur.
Jacques et Jacqueline, tout à leur rêve,devenu la plus idéale des réalités… se préparaient à partir auloin, pour un beau voyage en Italie.
Puis ils reviendraient se remettre à l’œuvregrandiose, à l’œuvre de bonté et d’amour entreprise en commun etqu’un jour peut-être vous racontera
ARTHUR BERNÈDE.