Madame Chrysanthème

LIV

 

Nous sortons avec lenteur de la grande baieverte. Les groupes de femmes s’effacent. Le pays des ombrellesrondes à mille plissures se referme peu à peu derrière nous.

Voici la mer qui s’ouvre, immense, incolore etvide, reposant des choses trop ingénieuses et trop petites.

Les montagnes boisées, les caps charmantss’éloignent. – Et tout ce Japon finit en rochers pittoresques, enîlots bizarres sur lesquels des arbres s’arrangent en bouquets, –d’une manière un peu précieuse peut-être, mais tout à faitjolie…

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