Chapitre 7
Voilà la chose, Monsieur, je l’ai contée d’unefaçon trop prolixe, et je vous ai peut-être fatigué.
Vous le voyez, quand je me mets à parler deces rudes temps d’autrefois, je crois revoir la petite cabane, leruisseau qui coulait auprès, et la Brousse qui l’entourait, et jecrois entendre encore la voix de ce brave Tom.
Il me reste peu de chose à ajouter.
Nous prospérâmes grâce à la pierreprécieuse.
Tom Donahue, comme vous le savez, s’est établiici, et il est bien connu dans la ville.
De mon côté j’ai réussi, je me livre àl’agriculture et à l’élevage des autruches en Afrique.
Nous avons donné au vieux Dick Wharton, dequoi s’établir pour son compte, et il est un de nos plus prochesvoisins.
Si jamais vous venez de notre côté, Monsieur,ne manquez pas de demander Jack Turnbull, propriétaire de la fermede Sasassa.