SCÈNE VII
Les précédents, l’estafette, l’officier
L’officier, au cosaque.– Tu viens ?
Le cosaque. – Du Maderaner Thâl,près du pont d’Amsteig, à sept lieues d’ici.
L’officier. – Ta dépêcheest ?
Le cosaque. – Du généralAuffemberg.
L’officier, recevant ladépêche. – C’est bon, tu peux mettre pied à terre !
(Il rentre dans la grange. Le cosaque metpied à terre et regarde à droite et à gauche. Il est tout blanc degivre ; des glaçons pendent à sa barbe.)
Ogiski, à Hattouine.– Ila bien froid… tu devrais l’appeler, matouchka.