La Vie ambiguë

XXIII – De M. I. Boiarova

(Reçue 19 juillet.)

Chère Kitie,

Au nom de Dieu, retiens chez toi HippolyteNicolaievitch jusqu’au dernier train ; s’il ne joue pas auxcartes, propose-lui une promenade à Montplaisir.

À minuit, j’irai là-bas et serai prête àrester avec vous jusqu’au lever du soleil.

TaMARY.

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