VII
Cette conclusion, la voici, telle qu’elle sorttout armée de mon cerveau.
Golding doit tous les soirs aller retrouverles deux gentlemen. Il ne peut s’en dispenser. Eux de leur côté nepeuvent rester séparés de Golding.
Et cela ne dépend pas d’un caprice, d’unefantaisie de vieillards : il y a plus que désir, plusqu’habitude, il y a nécessité. Ce n’est pas une liaison qui existeentre ces trois hommes, c’est un lien, plus serré que lenœud d’Alexandre, et l’épée s’émousserait sur lui. Une pareilleamitié, fatale, involontaire, n’a qu’un nom. J’hésite à leprononcer… elle s’appelle (bast ! personne ne lira ceci)complicité !