Le Roman d’un spahi

XXIV

C’était encore triste et silencieux, cepays-là, et pourtant cela reposait la vue, après tous ces sables dudésert.

Au village de Poupoubal sur le Diakhallémé, lenavire s’arrêta, ne pouvant remonter plus haut.

Les passagers furent débarqués, pour attendreles canots ou les pirogues qui devaient les conduire jusqu’à leurdestination.

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