Méditations poétiques

Commentaire.

Ces strophes jaillirent de mon cœur, et furentécrites au matin, au pied de mon lit, par un de mes amis, M. deMontchalin, qui me soignait comme un frère dans une longue etdangereuse maladie dont je fus atteint à Paris en 1819.

M. de Montchalin vit encore, et je l’aimetoujours de la même amitié. J’aurais dû lui dédier ces vers.

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