135 – LA VIOLENCE
Non, tu ne me prendras pas de force, n’ycompte pas, Lamprias. Si tu as entendu dire qu’on a violéParthenis, sache qu’elle y a mis du sien, car on ne jouit pas denous sans y être invité.
Oh ! va de ton mieux, fais des efforts,c’est manqué. Je me défends à peine, cependant. Je n’appellerai pasau secours. Et je ne lutte même pas ; mais je bouge. Pauvreami, c’est manqué encore.
Continue. Ce petit jeu m’amuse. D’autant queje suis sûre de vaincre. Encore un essai malheureux, et peut-êtretu seras moins disposé à me prouver tes désirs éteints.
Bourreau, que fais-tu ! Chien ! tume brises les poignets ! et ce genou qui m’éventre !Ah ! va, maintenant, c’est une belle victoire, que de ravir àterre une jeune fille en larmes.