Aziyadé

XXV

30 juillet. Dimanche.

À midi, par une journée brûlante, je quitteSalonique. Samuel vient avec sa barque, à la dernière heure, medire adieu sur le paquebot qui m’emporte.

Il a l’air fort dégagé et satisfait. – Encoreun qui m’oubliera vite !

– Au revoir, effendim, pensia poco deSamuel ! (Au revoir, monseigneur ! pense un peu àSamuel !)

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